Stages et ateliers 2023-2024 : Nous l’avons appelée « la manufacture », lieu d'apprentissage où l’on « fait » avec les mains, beaucoup de discernement et pas mal d’esprit critique. Une école qui transmet, grâce à des stages et ateliers, l’esprit et la forme du yukidō, cet art du soin toujours remis sur le métier.
Lire la suiteDans la brume, le silence est de mise, la main qui approche reste immobile, à l’écoute…
Lire la suiteIl faut juste un peu d’espace pour que le paysage intérieur puisse s’éclairer…
Lire la suiteLe souvenir est neuf à chaque instant où il se manifeste, comme l’écho d’un son, ou d’un songe.
Lire la suiteIl faut ce basculement de la perception, qui va de l’externe vers l’interne, de l’exploration vers la découverte. La main ne cherche pas, elle trouve.
Lire la suitePrendre soin des fascias endommagés pour qu’ils retrouvent leur place et forme demande des gestes d’une grande précision et sensibilité, difficiles à accomplir…
Lire la suiteRaison garder permet d’y voir clair et d’avancer sans tirer de conclusions hâtives…
Lire la suiteLa créativité n’invente pas, elle suit les traces du vivant comme un pisteur à l’affût…
Lire la suiteNous l’avons appelée « la manufacture », là où l’on « fait » avec les mains, beaucoup de discernement et un brin d’esprit critique.
Lire la suiteIl faut de l’ombre au toucher, une protection contre l’évidence, le trop visible, le brutal de l’exposition directe.
Lire la suiteComment« écrire » les sensations, formuler les besoins qu’elles expriment, imaginer les réponses qu’elles sollicitent ?
Lire la suiteIl n’y a rien de pire que cette fausse assurance qui fait croire à la main qu’elle possède la vérité.
Lire la suiteS’accrocher à l’embarcation, suivre le sens du courant, et vogue la galère !
Lire la suiteAvec la mise en mouvement, tout redevient possible, et tel un jeune concombre, l’organisme boit à grands traits les bienfaits de la terre, de l’eau, du vent et du soleil...
Lire la suiteJamais aucune pratique n’arrive toute cuite dans le chaudron de sa fabrication…
Lire la suiteLe corps tolère les maladresses… tant qu’elles ne se prennent pas pour de la virtuosité.
Lire la suitePartager le pain avec autrui, l’accompagner, cela ne se fait pas sur le dos de l’autre, ni sous son ventre, ni devant avec une laisse ni derrière en le poussant.
Lire la suiteLe savoir doit rester accessible et s’enrichir, source inépuisable de créativité…
Lire la suiteIl faut être connaisseur pour apprécier d’une seule gorgée le thé nouveau, d’un seul regard le geste nouveau, d’un seul contact le toucher nouveau…
Lire la suiteSouvent il faut repartir du début pour avancer, de nouveau et encore de nouveau. Comment ne pas perdre courage ?
Lire la suiteLa santé est le plus souvent chose donnée, mais on peut la perdre, et la retrouver demande une certaine adresse avec soi-même et les autres.
Lire la suiteNe pas attendre d’être souple pour bouger : c’est en bougeant que l’on entretient sa souplesse...
Lire la suiteL’immanence se révèle pourvu qu’on la laisse venir, qu’on ne charge pas le geste d’anticipation, de volonté ni d’enjeux.
Lire la suiteLes affections bénignes, pour désagréables qu’elles puissent être, ne sont pas le signe d’un corps défaillant et submergé par la tâche à accomplir
Lire la suiteConfiance et homéostasie se donnent la main, cet appétit de vivre...
Lire la suiteParfois, dans l’individu, ce qui est insoutenable, irrémédiable et irrévocable crée un vide, puis un manque que l’organisme n’aura de cesse de vouloir combler.
Lire la suiteLa main doit « se rendre » à l’instant, sans en attendre quoi que ce soit, plonger dans la durée pour résoudre le temps. Au lieu de se tourner vers ce qu’elle pense devoir sentir ou faire, elle se retourne sur elle-même.
Lire la suiteCroyances, pensée magique et recherche de pouvoir ont écrit les pages sombres du toucher qui soigne. Il est temps d’éclaircir le paysage…
Lire la suiteLes mots qui décrivent sont bien pauvres à rendre le foisonnement instantané des sensations perçues…
Lire la suiteMême la réponse déplaisante du corps après un choc peut être promesse de fraîcheur et de bien-être…
Lire la suiteL’éclairage de la conscience sur la perception des sensations internes se doit de ne pas être trop intense ni trop faible…
Lire la suiteQuand la vitalité déborde, c’est de tous côtés. Elle donne l’élan pour être heureux, parer au plus pressé ou faire face à l’adversité.
Lire la suiteEngourdissement et immobilité internes sont à mon sens les deux causes des échecs thérapeutiques interventionnistes - le corps n’est pas prêt à évoluer.
Lire la suiteComment aider le corps dans son travail de sauvegarde ? En allant dans son sens.
Lire la suiteComment développer l’intéroception et la proprioception ? Comment éclairer de notre conscience les sensations internes, profondes par nature ?
Lire la suiteEntre le dehors et le dedans, de chaque côté du portail, le ménage est indispensable. Comment le rendre joyeux et créatif ?
Lire la suiteLe yukido ne répare pas les organismes, corps et psychisme. Il revigore les capacités de régénération.
Lire la suiteLe temps immobile s’efface aujourd’hui comme neige au soleil. L’immuabilité a fait son temps…
Lire la suiteAinsi les saisons nous acclimatent à elles et faisant cela, nous rendent service…
Lire la suiteIls sont bien là, en chair et en os, les rebouteux du 21e siècle de nos campagnes…
Lire la suiteComment faire correspondre la forme de l’apprentissage avec le fond ?
Lire la suiteReconnu comme manifestation de l’involontaire et de l’inconscient, le symptôme n’est plus ce que l’on subit passivement en attendant la pilule ou la magie qui viendront nous soulager.
Lire la suitePour notre santé, serait-il possible de « regarder le dedans à partir du dedans » et d’en apprendre quelque chose ? Le point de vue serait tout à fait différent. Serait-ce si difficile ?
Lire la suitePar un long travail d’observation, j’en suis venue à concevoir que les sensations corporelles se déclinaient selon trois paramètres : température, consistance et mouvement.
Lire la suiteEnseigner le yukido, est-ce impossible, illusoire, casse-cou ? Pas de reproduction ni d’imitation envisageables, et encore moins d’anticipation du geste à faire. Alors, que reste-t-il ?
Lire la suiteLa grande histoire des sensations, c’est de se manifester involontairement et, selon la nécessité, d’alerter en désignant les besoins de l’organisme.
Lire la suiteMa pratique s’appelle YUKIDO : Yu-Ki-Dō ou 愉気道 en japonais. Pourquoi ce vocabulaire exotique ?
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